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    En direct, Assemblée nationale : Emmanuel Macron conditionne la nomination d’un premier ministre à la création d’une majorité « nécessairement plurielle » à l’Assemblée nationale.

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    Laurent Wauquiez, député Les Républicains (LR) de Haute-Loire, fait son retour dans le paysage national. Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes a été élu président du groupe LR à l’Assemblée nationale. Le ténor de la droite souhaite appeler son groupe la « droite républicaine ».

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    Bruno Retailleau (LR) plaide pour « un premier ministre d’intérêt public », non-partisan

    Le chef des sénateurs Les Républicains Bruno Retailleau, opposé à une coalition gouvernementale avec la macronie, a plaidé mercredi pour « un premier ministre d’intérêt public » qui serait « dégagé des jeux partisans » et par conséquent capable de rassembler au Parlement.

    Dans une tribune au Figaro, ce ténor de la droite appelle Emmanuel Macron à « dépasser la logique des partis » en appelant à Matignon « une personnalité située au-dessus des clans et des courants, une personnalité apaisante et incontestable par sa compétence, son expérience, son sens de l’État et de l’intérêt général ».

    Interrogé par l’Agence France-Presse (AFP) après la lettre aux Français d’Emmanuel Macron appelant les partis à « bâtir une majorité solide », M. Retailleau a balayé l’hypothèse de voir la droite entrer dans une grande coalition tout en réitérant sa proposition de nomination d’un premier ministre non-partisan.

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    Laurent Marcangeli (Horizons) en appelle à François Hollande pour nouer un accord

    Le président du groupe Horizons à l’Assemblée, Laurent Marcangeli, appelle mercredi les partis politiques, de la droite républicaine aux sociaux-démocrates, à nouer un « accord » en vue de former un gouvernement, tournant particulièrement le regard vers l’ancien président de la République François Hollande.

    « Le groupe Horizons a validé une idée, celle d’un accord très temporaire qui pourrait aller jusqu’à l’année prochaine et la réactivation du droit de dissolution de l’Assemblée nationale, afin de permettre un gouvernement le plus large possible, qui partirait des LR pour aller jusqu’aux sociaux-démocrates (…), voire on peut avoir des discussions avec le Parti communiste et les Ecologistes », a affirmé M. Marcangeli dans un entretien à l’Agence France-Presse (AFP).

    « Je lance cet appel, car il y a des menaces qui pèsent sur notre pays (…). J’en appelle directement d’ailleurs (…) au président Hollande, qui est député depuis lundi. »

    « J’ai été député dans son opposition à l’époque, mais je lui reconnais (…) d’être un républicain et de connaître le sens de l’histoire et la gravité qu’implique la gouvernance d’un pays. A un moment, il faut que les esprits se ressaisissent et que celles et ceux qui connaissent la lourdeur de la gestion de la France en temps de crise prennent leurs responsabilités », a-t-il mis en garde, trois jours après des élections qui n’ont pas permis de dégager une majorité absolue à l’Assemblée.

    Le député de Corse proche de l’ancien premier ministre Edouard Philippe souhaite « rencontrer l’ensemble des groupes politiques qui s’inscrivent dans cet arc », afin de constituer ce gouvernement « dans l’intérêt supérieur du pays ».

    Vidéo en direct de la rédaction du « Monde »

    Qui sera nommé premier ministre ? Aura-t-il les moyens de gouverner ? Que peut encore faire Emmanuel Macron ? Françoise Fressoz, éditorialiste au Monde, et Jean-Philippe Derosier, professeur de droit, spécialiste de la Constitution, répondent à vos questions en direct vidéo, de 18 h 30 à 19 h 30. La vidéo s’affiche dès maintenant en haut de ce live 👆

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    En perdant le siège qu’elle occupait depuis 2012 à l’Assemblée, Valérie Rabault obscurcit son avenir national

    Son nom circulait pour occuper les plus hautes fonctions de l’Etat, telle la présidence de l’Assemblée nationale, et même le poste de première ministre. Mais, dimanche 7 juillet au soir, la socialiste Valérie Rabault a perdu son siège de députée dans la 1re circonscription de Tarn-et-Garonne et, peut-être, ses ambitions nationales.

    Elle a été battue par la maire de Montauban, Brigitte Barèges, qui se présentait avec l’étiquette Les Républicains d’Eric Ciotti, rallié au Rassemblement national (RN). Avec 51,3 % des voix au second tour, Mme Barèges récupère donc le siège qu’elle avait perdu en 2012, face à Valérie Rabault. Au soir de sa défaite, celle qui était encore première vice-présidente de l’Assemblée nationale a tenu à « féliciter [son] adversaire », évacuant « tout sentiment de frustration ».

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